Cet arbre commun en Extrême-Orient fournit une huile essentielle assez semblable à celle de niaouli, quoique moins complexe. L’arôme de cette huile rappelle également celui du niaouli, mais l’impression soufrée semble moins intense.
On retiendra que son 1,8 cinéole à dose raisonnable (autour de 50 %), ses monoterpènes et ses monoterpénols en font une huile essentielle décongestionnante réservée à toutes sortes d’affections respiratoires.
Dans un mélange respiratoire, il apportera la note olfactive caractéristique des myrtacées.Pour cela, essayez de l’associer à d’autres huiles essentielles respiratoires douces, comme
l’eucalyptus radié, la
ravintsara ou le
sapin baumier. Pour les respirations difficiles, asthmatiques, emphysémateuses, vous pouvez lui adjoindre une petite touche
d’oliban, qui n’a pas son pareil pour amplifier le réflexe respiratoire.